« Ghislaine entreprend quatre ans de conférences et d’ateliers, sur le thème de la souveraineté individuelle, qui l’amènent à parcourir le Canada, les États-Unis et l’Europe, en compagnie de France, sa compagne d’évolution. Simultanément, elle développe « Le Grand Portrait » de l’évolution de la conscience humaine (1995) qui deviendra la base de l’enseignement de Personocratia. De plus, par des expériences concrètes, elle en vient à cibler plus précisément les actions spécifiques permettant de dissoudre pour de bon la conception fausse de l’autorité extérieure. Très tôt, elle abandonne sa carte d’assurance-maladie (1993), puis elle cesse de contribuer à l’impôt sur le revenu (1995). Elle renonce à sa profession médicale (1995), à son permis de conduire (1996), à ses rôle de mère et de sauveur, etc. Personocratia passe vraiment à l’action dans son quotidien. Pendant ce temps, une équipe se met en place pour assurer la bonne marche des éditions ainsi que l’organisation des ateliers. En France, quelques personnes commencent à donner des ateliers portant sur le concept de la souveraineté individuelle.
Suite à un retentissant procès relié à son livre La Mafia Médicale, Ghislaine démissionne du Collège des médecins (Conseil de l’Ordre). Le livre Le procès de la Mafia Médicale (1997) voit le jour et accélère l’expérimentation d’une vie où s’amenuise l’influence des autorités extérieures. » Lire l’article ici
Curriculum vitæ de Ghislaine Lanctôt : https://www.psiram.com/fr/index.php/Ghislaine_Lanctôt
Rappel : Amélie Paul https://odysee.com/@ameliepaul:8